La cohabitation intergénérationnelle solidaire, un dispositif d’habitat partagé du CCAS de Périgueux

Ce projet est né à Périgueux grâce à une synergie d’acteurs locaux visant, d’une part, à lutter contre l’isolement social des personnes âgées et, d’autre part, à pallier la pénurie de logements pour les jeunes. Le principe est de mettre en contact une personne de 60 ans et plus avec un adulte de moins de 30 ans afin de cohabiter et de s’entraider, répondant ainsi aux "besoins sociaux non ou mal satisfaits" de ces personnes. Les avantages sont multiples : pour les séniors : partager et discuter avec quelqu’un, bénéficier d’un petit complément de revenus ou de services rendus par le jeune, pour les jeunes : se loger à moindre coût et profiter d’un lien enrichissant, pour les familles des séniors : être rassurées par la présence d’une autre personne au domicile de leur parent. Les personnes de plus de 60 ans ont des profils, des besoins et des attentes variés : des jeunes retraités, souvent très actifs, conscients des difficultés économiques des jeunes et motivés par le désir de "rendre service", des personnes plus âgées, avec une vie sociale moins riche, en quête de "plus de contacts et d’échanges", des aînés, moins autonomes et mobiles, ravis de partager leur toit pour rompre l’isolement. Les jeunes de moins de 30 ans peuvent être dans diverses situations : étudiants, jeunes travailleurs, apprentis, etc. Ce qui importe, ce sont leurs besoins de logement, leur motivation et leur ouverture d’esprit pour s’engager dans une expérience de cohabitation avec un sénior et comprendre le caractère solidaire du dispositif. Le dispositif débute lundi 1er juillet, en prévision de la rentrée scolaire 2024/2025.

Par |2024-07-08T14:25:29+02:008 juillet 2024|Nouvelle-Aquitaine|0 commentaire

Bayonne : une pétition rassemble près de 1 000 signatures pour défendre les œuvres du street-artiste Exist

Ses gueules de B-Boy au béret sont connues à Bayonne : Exist s’est lancé sur les coffrets électriques pour « upgrader » ce mobilier urbain, atteignant une centaine de productions. La mairie a sifflé la fin de la récré en recouvrant quelques-unes de ses œuvres dans le centre ancien. Un crève-cœur pour l’artiste dont les soutiens se mobilisent via une pétition

Par |2024-07-08T14:09:38+02:008 juillet 2024|Nouvelle-Aquitaine|0 commentaire

“C’est une juste décision” : le propriétaire des cabanes de Chasteaux relaxé par la justice, la mairie reste amère

Le tribunal correctionnel de Brive a relaxé, ce 4 juillet, François Fleury, en conflit avec la mairie de Chasteaux (Corrèze) pour avoir installé des cabanes sur son terrain privé du hameau de Sorp. C'est un soulagement pour les quelques habitants des habitats légers et un revers pour la Mairie de Chasteaux (Corrèze) qui s'était portée partie civile. Défenseur du principe de "la désobéissance fertile", François Fleury était poursuivi par la justice pour des constructions illégales sur son terrain du hameau du Sorp, sur la commune de Chasteaux (Corrèze). Dans sa décision rendue ce 4 juillet, le tribunal correctionnel de Brive a finalement relaxé le prévenu, jugeant les faits prescrits. Les cabanes qu'il a installées sur son terrain ne seront donc pas déconstruites. Lire l'article complet sur : france3-regions.francetvinfo.fr

Par |2024-07-08T11:24:18+02:008 juillet 2024|Nouvelle-Aquitaine|0 commentaire

Médecin à la campagne : comment développer des solutions pour inciter les professionnels à s’installer

Organisées pour la troisième année à Chéniers en Creuse, les rencontres de médecine rurale font le pari qu’un territoire rural, confronté aux problèmes de diminution de l’accès aux soins, dispose de ressources pour proposer des solutions et se rendre attractif. "Il n'y a pas de solution miracle globale. Je pense qu'il faut prendre l'étudiant, et lui demander : toi, qu'est-ce qui t'intéresse comme activité culturelle, sociale, qu'est-ce qui t'intéresse le plus dans ton travail, faire de la rhumatologie, ou de la gynécologie..."

Par |2024-07-08T10:59:23+02:008 juillet 2024|Nouvelle-Aquitaine|0 commentaire

LÉGISLATIVES 2024 : un barbecue festif improvisé devant la mairie de Limoges termine en altercation avec le maire de la commune

Après les résultats du second tour des élections législatives anticipées, une centaine de personnes s'est retrouvée devant la mairie de Limoges pour un barbecue improvisé qui s'est terminé en altercation avec le maire de la commune. Ce dimanche soir, un rendez-vous était pris devant la mairie pour s'opposer au racisme et aux idées d'extrême droite. Finalement, les trois députés sortant Nouveau Front populaire ont été réélus. Les manifestants ont maintenu le rendez-vous, mais la manifestation a pris des allures festives pour célébrer "la victoire du Nouveau Front populaire" en Haute-Vienne, devant la mairie, avec la mise en route d'un barbecue, sous surveillance des forces de l'ordre. L'ambiance restait toutefois "bon enfant."

Par |2024-07-08T10:52:37+02:008 juillet 2024|Nouvelle-Aquitaine|0 commentaire

Randonnée et handicap, des aménagements rares et précieux

La randonnée est une activité difficilement praticable par les personnes en situation de handicap, quel que soit ce handicap. En Limousin, seule la voie verte de Châlus est aménagée pour être accessible à tous. "Nous rencontrons surtout des difficultés pour organiser des randonnées accessibles aux fauteuils roulants", explique Lucie Chapeyron, chargée de mission auprès des comités départementaux handisport et sport adapté de la Haute-Vienne. "On n'organise quasiment jamais de randonnée pédestre, parce que c'est très compliqué de trouver des terrains praticables en fauteuil. Et puis c'est un public qui est physiquement fatigable, donc il faut trouver des boucles courtes", poursuit-elle. La randonnée inclusive "Rhand dit Cap", organisée le jeudi 6 juin, à Bessines-sur-Gartempe, était donc une occasion rare pour les personnes en fauteuil de randonner sur deux parcours au choix. 3,5 ou 8 km pour "tisser des liens et favoriser la solidarité entre personnes valides et personnes porteuses d’un handicap physique, sensoriel ou mental sur des itinéraires de randonnées conviviaux et faciles."

Par |2024-07-04T14:08:51+02:004 juillet 2024|Nouvelle-Aquitaine|0 commentaire

“Reprendre goût à la vie” : pour éviter la solitude, des personnes âgées s’installent dans un ancien hôtel, devenu un habitat partagé

Un habitat partagé pour séniors a ouvert ses portes il y a plusieurs mois dans la commune de Rivières, en Charente. L'établissement se veut différent d'un Ehpad ou d'une résidence pour personnes âgées, mais comme un nouveau concept pour permettre aux aînés de retrouver de la vie sociale. À quelques mètres du château de La Rochefoucauld, une colocation spéciale pour sénior a remplacé l'ancien hôtel de la commune de Rivières, en Charente. Depuis un peu plus de mois, quelques résidents y sont installés, comme Henriette Barusseau.

Par |2024-07-03T16:23:45+02:003 juillet 2024|Nouvelle-Aquitaine|0 commentaire

Comment Alliance Forêts Bois fait face aux orages économiques et climatiques

La coopérative forestière a vécu une année 2023 oscillant entre embellie et orage économiques et aléas climatique. Elle doit aussi faire face aux « attaques » ou aux « incompréhensions » de la société civile. Autant d’enjeux qu’elle dit avoir pris à bras-le-corps et dont elle a témoigné devant ses adhérents Oui, les précipitations en continu subies depuis l’automne 2023 et jusqu’à ce mois de juin 2024 ne sont pas étrangères à la végétation luxuriante, la croissance des arbres des bois et forêts de la Nouvelle-Aquitaine. En revanche, elles portent un coup sur l’activité économique. Activité économique déjà en dents de scie sur 2023 et ce pour des raisons autres qu’uniquement climatiques. C’est le constat porté à la connaissance des adhérents néo-aquitains, ce vendredi 28 juin, depuis l’Hôtel de Région à Bordeaux, lors de l’assemblée générale de la coopérative forestière Alliance Forêts Bois.

Par |2024-07-03T14:26:27+02:003 juillet 2024|Nouvelle-Aquitaine|0 commentaire

Michèle Alliot-Marie : deux ans de prison avec sursis requis pour prise illégale d’intérêts à Saint-Jean-de-Luz

L’ex-ministre est soupçonnée de prise illégale d’intérêts de 2010 à 2012 alors qu’elle était adjointe au maire dans la commune basque Le parquet a requis mardi 2 juillet deux ans d’emprisonnement avec sursis contre l’ex-ministre Michèle Alliot-Marie, soupçonnée de prise illégale d'intérêts de 2010 à 2012 alors qu’elle était adjointe au maire de Saint-Jean-de-Luz (64), des réquisitions jugées « excessives » par les conseils de la prévenue. Le parquet a également requis une amende de 50 000 euros et une inéligibilité pendant trois ans contre l’ancienne ministre de la Défense, de l’Intérieur, de la Justice et des Affaires étrangères sous Jacques Chirac puis Nicolas Sarkozy.

Par |2024-07-03T10:08:41+02:003 juillet 2024|Nouvelle-Aquitaine|0 commentaire

“Il suffit de pas grand-chose pour que ça pousse ” : des plantes dans la ville, la végétalisation des rues de Bordeaux se poursuit

était un point clef du programme de Pierre Hurmic. Le maire EELV de Bordeaux en a donc fait sa priorité. Depuis quatre ans le plan "Bordeaux Grandeur nature" prend forme. Et certains Bordelais se prêtent au jeu, végétalisant eux-mêmes leur rue. Roses trémières, jasmin, chèvrefeuille ont poussé ça et là dans les rues de Bordeaux. Contre un mur ou entre deux pavés, ils donnent à voir un paysage plus coloré qu'il ne l'était. Ces "rues jardins" sont de plus en plus nombreuses. "Il suffit de pas grand-chose en fait pour que ça pousse", explique Emmanuel Bizet, un habitant. "Si on regarde bien, ça pousse le long des maisons. Il suffit d'un simple trou, un peu de terre, et j'ai l'impression que ça part tout seul".

Par |2024-07-02T17:31:30+02:002 juillet 2024|Nouvelle-Aquitaine|0 commentaire
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